Isabelle Velex : « Des rencontres si fortes que je ne pouvais que les écrire »

J’écrivais chaque lendemain de maraudes afin de restituer le plus justement et fidèlement possible l’émotion de la rencontre, la personne telle qu’elle je la voyais, telle qu’elle se montrait à moi pour en garder la pureté, un peu comme fait le photographe de façon instantanée lorsqu’il saisit un visage, un corps dans la rue. Et c’est pour cette raison que la poésie s’est imposée à moi