Journal ou carnet : comment accompagner l’œuvre en cours ?

Écrire dans le carnet est moins intimidant que la page blanche, on y jette les mots sans soucis de lisibilité, des phrases inachevées, on y laisse des fautes, on y écrit en style télégraphique ou en sténographie : quelques signes griffonnés à la va-vite sont suffisants pour se rappeler le contexte.